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heu.... des meurtrières créées durant les guerres de religion. mou ai. il ne faut pas recopier les erreurs l
Par Anonyme, le 13.09.2019

merci simone mais je t'ai aidée de bon cœur ! sylvie c.
Par CAILLAUD SYLVIE, le 01.10.2017

coucou du soir.une bien jolie photos avec ces cygnes noir http://pommere inette.centerb log.net
Par pommereinette, le 18.09.2017

merci. le compliment me va droit au coeur. vous aussi vous me manquiez. l'amitié est un bien précieux qu'il fa
Par jugazan, le 18.09.2017

belle rando et beaux points de vue. contente de retrouver notre simone, elle nous manquait !!!!!
Par Anonyme, le 18.09.2017

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Date de création : 10.02.2011
Dernière mise à jour : 30.06.2018
415 articles


Randos 1° Semestre 2016

LALANDE DE FRONSAC 33

Publié le 11/02/2017 à 09:48 par jugazan Tags : france saint roman texte livre vie histoire amis
LALANDE DE FRONSAC 33

Le français lande est issu du Gaulois *landa qui a d'abord signifié terrain boisé puis terrain inculte résultant de la dégradation de la forêt, terrain plat, couvert de broussailles, étendue inculte. Ce que devait être la caractéristique du lieu.

Des fouilles archéologiques ont mis au jour des vestiges préhistoriques attestant une occupation de site de l'actuelle commune dès le Néolithique. Des traces d'habitat gallo-romain ont également été découvertes. La présence de sarcophages mérovingiens ainsi que de pièces de monnaie, trouvés lors de fouilles exécutées autour de l'église, témoignent de l'existence d'un village dès le haut Moyen Âge. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, la commune compte une population principalement constituée d'agriculteurs.

De 1913 à 1949, la commune dispose d'une gare des Tramways électriques du Libournais.

Vers 1020, 1170, et du XIIIe au XVe siècle – Pierre Cette église dépendait autrefois de l'abbaye de Guîtres. Le chœur, l'abside et le clocher sont romans ; la nef est gothique. Un bas-côté formant chapelle, où est placé l'autel de la Vierge, est ajouré au nord à la fin du XVe siècle. Le chœur et la chapelle sont fortifiés lors des guerres de Religion. La porte ouest date de 1836.

Le portail sculpté de l’église Saint-Pierre de La Lande-de-Fronsac est un superbe exemple de sculpture romane parfaitement conservée.

Ce portail roman fait la célébrité de l’église de La Lande-de-Fronsac. Si le décor luxuriant des voussures rappelle la Saintonge voisine, le portail présente en outre un tympan, élément rare dans la région. De plus, ce tympan est lui-même orné d’un thème original. Il s’agit en effet de la première vision de l’Apocalypse de saint Jean.

Son programmme iconographique dont le tympan est l'élément majeur est inspiré de la Saintonge et de l'Angoumois. En 1846 Léo Drouyn a organisé le débadigeonage de ce tympan et a relevé les inscriptions gravées sur le linteau et le pourtour du tympan qui font référence au texte de l'Apocalyspse.

Il a donné la première description : Au centre, le Christ revêtu d'une longue robe serrée à la taille par une ceinture d'or. Dans sa main droite il a sept étoiles et de sa bouche sort une épée acérée à double tranchant et son visage et comme le soleil qui brille de tout son éclat. A sa droite sont aussi les sept églises et St Jean qui serre le Livre contre lui ; à sa gauche une végétation luxuriante, évocation de l'abre de vie du Paradis.

J.P. Tyssandier -Association Histoire en Fronsadais Amis de Léo Drouyn-



LE FLEIX 24

Publié le 18/09/2016 à 18:43 par jugazan Tags : background écran roman sur saint

Le Fleix, porte du bergeracois et du Périgord

Situé sur la rive droite de la Dordogne, Le Fleix est une des plus vieilles communes de la région. Située à la jonction des routes de Libourne à Bergerac et de Sainte Foy la Grande à Mussidan, elle jouxte le pays foyen.

Le Bourg possède des maisons moyenâgeuses à colombages dans la rue des canons et un port qui attire beaucoup de créateurs avec une vue exceptionnelle sur le viaduc du mignon.

Du fait de sa situation géographique D20 et D32, c’est un bourg très attractif.

Petit village situé dans un écrin de verdure à l’inflexion de la Dordogne d’où il titrerait son antique nom de Flexus. Le Fleix est occupé dès le paléolithique. Depuis l’antiquité, ses argiles ont permis jusqu’au XIXème siècle le développement de poterie, tuileries puis faïenceries.

Grâce à ses coteaux ensoleillés, la vigne y a tenu de tout temps une place de choix.

La « Paix du Fleix » mettant fin à la 7éme guerre de religion, fut conclue en 1580 dans le « château vieux ».

Le second château, partiellement détruit à la Révolution puis transformé en Temple Protestant, est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques.

Ancien port de passage et de commerce, on peut découvrir 3 énormes canons de fer ainsi que des habitations du XVIIème siècle dans ce quartier pittoresque, et apercevoir les restes du monumental viaduc de 30 arches, unique en Dordogne, au pied du coteau du Mignon surmonté d’un tumulus.

Terre d’histoire et du bien vivre, la commune du Fleix garde une « stabilité rare » depuis plusieurs générations : 1500 habitants. Elle s’étend sur 1805 ha, du coteau à la rive droite de la Dordogne, au carrefour des routes D20 et D32, sur les axes : La Réole / Mussidan / et Montpon / Bergerac.

Entouré par les communes de Saint-Avit-Saint-Nazaire, Monfaucon et Sainte-Foy-la-Grande, Le Fleix est situé à 3 km au nord-ouest de Saint-Avit-Saint-Nazaire la plus grande ville des environs.

Situé à 20 mètres d’altitude, la Rivière La Dordogne, le Ruisseau du Peytavit, le Ruisseau Vieille Gouyne sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune du Fleix.

 

 
 


JUGAZAN 33420

Publié le 27/06/2016 à 11:01 par jugazan Tags : anniversaire image centerblog merci monde bonne photos histoire exposition

 Anniversaire : 20 Ans des Mille Pattes

 

 

 

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 LES MILLE PATTES ONT 20 ANS

Nous ne pouvions pas ignorer cet anniversaire !

Pour ce samedi 25 juin nous avons lancé plus de 100 invitations vers les adhérents anciens et actuels.

Soixante dix personnes nous font le plaisir de répondre favorablement. Un temps incertain nous oblige à nous replier dans la salle des fêtes. Nous pouvons ainsi  profiter de  la magnifique exposition de photos : paysages, personnages, souvenirs, bons moments ont été appréciés par tous.

Un grand bravo à Roger Simon et à Simone ainsi qu'à Jeanette & Claude pour celles de Montpellier Le Vieux.

Pâté, grillades de bœuf succulentes,  frites fraiches, Merci « aux Daniels » pour l’aide à la préparation et à la mise en place de ce repas.

Merci à « toutes les petites mains ».

Daniel Chavaroche, conteur, à animé une partie du repas par de  passionnantes histoires.

Après le fromage nous avons reçu un groupe de chanteurs et musiciens basques de Bordeaux.

Chants basques, danses traditionnelles pour tout le monde. Grands moments de rires.

Nous avons réussi à déguster la pièce montée aux environs de 17h accompagnée d’une dernière histoire sur les randonneurs du GR. Criant de vérité.......

Merci  à tous pour votre présence,  votre bonne humeur et votre aide.

A très bientôt

Daniel

 

 



GRIGNOLS 33

Grignols, prononcé [gɾa'ɲɔs] en gascon, est composé du nom de personne Granius et du suffixe aquitain -òs (< -otze), le l étant dû à l'influence de *graneolum. Une étymologie populaire donne « lieu où l'on entrepose le grain ».
 
Un peu d'histoire
 
Une famille porte le nom de Grignols, depuis le XIII siècle au moins. Le Seigneur de Grignols est cité dans une transaction de la dîme avec le Commandeur de Cours, en 1273, et Arnaldus de Granbolio est mentionné en 1312 dans un testament de Clément V.
Les GRIGNOLS se succèdent à la tête de la seigneurie trois siècles durant. Parmi eux figurent Jean de Grignols, allié au Sire d'Albret en 1383, Noble Jean, Capitaine d'Aillas en 1465, et Jean, chevalier, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi qui sert avec distinction dans les armées de François 1er, en Italie.
Par deux ventes successives, La Seigneurie passe, en 1597, à Jean Pol d'Esparbés de Lussan, Gouverneur de Blaye.
Sa fille Antoinette, dame d'honneur de Marie de Médécis, épouse Jean de Grignols qui, par un échange de terres, retrouve la baronnie érigée en marquisat en 1613 par Louis XIII.
Le Bourg de Grignols naît à cette époque, prenant plus d'importance que celui de Flaujac, construit autour de l'église primitive. Église paroissiale jusqu'en 1862.

C'est alors que le bourg se construit. Tout d'abord dans le prolongement de l'allée du château, au départ d'un champ de foire puis en direction de la Halle et d'une auberge pour rejoindre la voie de passage BAZAS - CASTELJALOUX.
Le Roi autorise deux foires annuelles. L'une le 17 janvier, l'autre le 25 novembre ainsi qu'un marché hebdomadaire le mercredi, toujours d'actualité de nos jours. Les enfants de Jean de Grignols n'ayant pas de descendance, la seigneurie est achetée en 1753 par Charles-Philippe, Comte de Pons-Saint-Maurice, dont la famille restera propriétaire jusqu'en 1946.
En 1790, lors de la formation des communes, Grignols n'est qu'un bourg commerçant placé sous la dépendance du Château et appartenant à la paroisse de Flaujac. Il est cependant érigé en commune et en canton. Mais, dés le début du XIX ème siècle et jusqu'aux années 1950, toutes les maisons et propriétés du Château sont vendues les unes après les autres.
Pourtant, au XIX ème siècle, Grignols est un centre communal prospère. Les riches coteaux agricoles produisent vins et céréales en abondance, mais aussi une part importante de tabac. Les scieries, les tuileries et la fabrique de paillons (emballages des bouteilles) sont la source d'une activité économique intense.
À la fin du XX ème siècle, seule une scierie-parquetterie subsiste et quelques exploitations agricoles s'attachent à développer des produits du terroir tels les vins, les chapons (d'où une importante manifestation au marché de Grignols le dernier dimanche avant nöel), les canards gras et les fromages fermiers. Heureusement, le Commerce et l'Artisanat s'y maintiennent.
 
La-boucle locale est sans aucun doute très marquée par son côté nature; Son relief "moutonnant" est principalement dû à la présence de plusieurs cours d'eau tels que le Brion, le Beuve ou le Lysos. Il faut prendre la précaution de se chausser en conséquence. Villages remarquablement bien fleuris pour le plaisir des yeux.
Après avoir traversé près et bois, pour apercevoir l'Eglise d'Auzac, nous prenons la direction de la "boucle de cours les Bains". Le chemin serpente dans un bois de feuillus.
Nous rejoignons Cours les bains pour continuer sur un chemin de terre, la forêt et déboucher dans une clairière. Nous arrivons au bord du Lysos. Encore un chemin dans la forêt via Auzac. Après la peupleraie, nous prenons un chemin à flanc de côteau, traversons la passerelle sur le Lysos et remontons dans une parcelle de vignes.
Nous arrivons à une ferme, il est l'heure de "casser la croûte", donc nous faisons une halte vers deux beaux chênes, à l'ombre.  Repus, nous reprenons la route, vers le lieu dit "Balahade". Puis après avoir cotoyé vignes, coteau, champ, talus, près, sous bois, nous prenons un chemin de terre entouré de plantations de noisetiers, jusqu'à l'Eglise "St Jean Baptiste d'Auzac".
De là nous reprenons la boucle de Grignols derrière l'Eglise. Nous longeons un élevage de canards, à l'odeur alléchante.....puis nous reprenons le chemin de l'aller. Nous avons un peu coupé la boucle, 17 km env. au lieu de 21. Nous sommes rentrés à 16h pour le goûter, de ce fait les 11 marcheurs(es) ont pû rentrer à une heure raisonnable vers Libourne.
Très belle randonnée, très attractive de part la découverte des Eglises. Même si cela paraît un peu éloigné, cela vaut la peine de découvrir ce paysage non loin de Langon et La Réole. La météo n'était pas encourageante mais nous avons bénéficié d'un temps clément.
 
COURS LES BAINSL'origine du nom de la commune est peut-être le mot bas latin « cortis », qui désigne une cour de ferme ou une basse-cour. En gascon, le nom de la commune est Corts.
EGLISE NOTRE DAME
IMG_8130.jpg Elle date du XIXème siècle, elle a été édifiée sur l'emplacement de l'ancienne Eglise qui datait du XVIIème Notre dame de la Croix.
Le sanctuaire est composé d'un vaisseau allongé, prolongé par les bras du transept et un chevet en demi-cercle. Le clocher est une tour couronnée de merlons. La porte est surmontée d'un tympan en plain cintre.
La cloche a été fondue par BARRE de Marmande (Lot et Garonne) au milieu du XIXème siècle.
Elle abrite une statue d'une vierge noire à l'enfant en bois qui faisait l'objet d'un pélerinage le 08 Septembre, jour de Fête la nativité de la Vierge.
 
LA COMMANDERIE
La commanderie a été construite en 1160. Les hospitaliers de Jérusalem en ont hérité après la fin de l'ordre des templiers en 1312. Le Bâtîment comprend jusqu'à 11 tours , des murailles, des fossés, l'Eglise ST-MARTIN, le Presbytère et une bastide ajoutée en 1289 autour du donjon. Il reste une tour. Ce bâtiment a été transformé en maison d'habitation.
Anciens thermes

Les eaux ferrugineuses de COURS ont attiré de nombreux malades qui buvaient cette eau et ce dès le 18ème siècle. Le lieu disposait d'un moulin où les gens prenaient l'eau à l'aide d'un sabot pour la boire. Le nom du lieu vient de la roue du Moulin "La Rode " en patois et la fête qui à longtemps lancé la saison des thermes était la fête de "l'esclop" le sabot.

Le moulin agrandi et aménagé devient la propriété de quatre médecins . L'autorisation d'exploitation date du 09 Mars 1840. Le Docteur ROUMAT propriétaire des lieux ouvre l'établissement thermal vers 1860. L'affluence des curistes est au plus haut vers 1880, la place manque et l'établissement est revendu, le nouveau propriétaire entreprend un aménagement très ambitieux puisqu'il comprend un hôtel de 50 Chambres, des grands salons, 2 vastes écuries qui reçoivent 100 chevaux, une chapelle, un casino, salles de concerts et de bals.
L'activité s'achève dans les années 1940. Aujourd'hui seuls subsistent le bâtiment principal et la chapelle. Il est utilisé comme simple habitation et le propriétaire actuel envisage de créer des chambres d'hôtes.

 Eglise St Jean Baptiste d'Auzac IMG_8161.jpg
 
L'édifice dont il ne subsiste plus que des vestiges, est construit dans la vallée du Lysos à la fin du XIIème siècle ou au début du XIIIème. Concernant le cloche-mur, il date du XIVème siècle mais sera amélioré au XVIème et XVIIème siècle.
Abandonnée dans les années 1920-1930, l'église est privée de ses chapiteaux cédés à la ville de Bordeaux puis classée monument historique le 30 mai 1961.
Les cloches sont, quant à elles, transportées dans l'église Notre Dame de l'Immaculée Conception à Grignols. L'une d'elles porte l'inscription "St. Jean Baptiste, priez pour nous".
 
La statue Saint-Michel
Grignols_saint_michel.jpgEn 1820, le second fils de Charles X, le Duc de Berry, est assassiné par L.P.Louvel, bonapartiste qui veut mettre fin à la race des Bourbons. Le Duc de Berry meurt sans enfant, mais un fils posthume, le Duc de Bordeaux, naît le 29 septembre de la même année, jour de la Saint-Michel.
Un an plus tard est inaugurée cette statue commandée par le Vicomte Élie de Pons St. Maurice, châtelain de Grignols, en l'honneur de cet enfant. Henri V de Bourbon, Duc de Bordeaux et Comte de Chambord, et prétendant au trône de France.
Toutefois, en 1873, par son refus du drapeau tricolore, il fait échouer la tentative de Restauration menée à son profit par ses partisans.
La réalisation de la statue est confiée à l'artiste Lenoir Ravrio.
Les Ravrio étaient une famille de fondeurs installée à Paris. Un an plus tard, est inaugurée cette statue représentant Saint-Michel, commandée par le Vicomte Élie de Pons St. Maurice.
Le changement de Régime fait que le motif de la commande est oublié, et la statue reste celle de l'archange. Ne figurant pas dans le recensement des métaux, non ferreux, réalisé vers 1941, elle échappe à la refonte pour besoin de Guerre.
L'archange perd sa lance en 1944.
 
 
 


CAMARES 12

Publié le 08/06/2016 à 15:59 par jugazan Tags : video photos sur rouge
Historique
Chef lieu d'une viguerie carolingienne mentionnée en 883. La cité fut édifiée sur un mont escarpé dont les vestiges constituent la ville haute. La porte d'entrée encore visible conduisait au château du seigneur Arnaud du Pont. L'activité industrielle et artisanale se trouvait sur les rives du Dourdou, au quartier de cloque : fabrique de cadis, moulins à foulon, tanneries, mégisseries, teintureries. Une partie de la population industrielle adhéra au protestantisme après la prise de la ville, par le capitaine de Beaufort en 1563. En 1586 Camarès était compté parmi les quatre principales villes fortes des protestants du Rouergue. Le temple protestant fut élevé en 1825 au quartier du Barri, l'hôtel de ville est de 1896, le pont vieux réputé du XIème siècle.

A voir et Savoir

- Pont du XIème siècle
- Porte d'entrée de la ville haute.
- Statue de la vierge
- Chapelle de St Pierre d'Issis
- cabane pointue
- les Rougiers ( terre rouge)



AVEYRON

Publié le 30/05/2016 à 16:19 par jugazan Tags : sur loisirs merci bonne homme amis photos histoire argent nuit nature cadre voyage rouge patrimoine

 Montpellier-le-Vieux, Parc Loisirs Nature,dans le plus grand labyrinthe rocheux d'Europe

 Un site extraordinaire

 "Le Causse Noir est le plus riche de tous ces amas de rocs ruiniformes : Montpellier-le-Vieux, leur capitale... compte parmi les villes de rochers les plus remarquables du monde" (E A Martel).

3 jours en Aveyron

Départ  de Jugazan à 6 h 15. La perspective de ce week-end nous donne du courage. Nos amis des « godillots » sont présents et déjà intégrés au groupe.

Via autoroute à La Réole sous la pluie, le voyage se poursuit sous la pluie, après un arrêt petit déjeuner, sous la pluie et dans le vent.

Sortie Montauban, puis Albi et direction Millau. Nous passons le col dans les nuages. Enfin lors de la descente nous  retrouvons le soleil.  

Arrivée sur Millau et vue sur le magnifique viaduc. Montée vers Montpellier le vieux dans les lacets. Bravo Didier !

Pique nique sous le soleil et à l’abri du vent, puis chacun entame les parcours vert, rouge et jaune au choix de chacun. Retour au bus à 16h. Départ vers le VVF. Au passage arrêt sous le viaduc : photos,  visite du musée et de la boutique.

Après une heure de route arrivée à Brusque dans un très beau cadre. Accueil par Tony, distribution des clés des logements très confortables. Nous sommes conviés à la réunion d’accueil  suivi de l’apéro. Repas dans la véranda puis repos bien mérité.

Dimanche départ pour Combret à 9h15. Nous partons pour notre rando de 15 km en commençant par une montée. Quelques passages difficiles mais parcours très agréable dans des paysages variés.  Sous le soleil et dans le vent. Pique nique au monastère Notre Dame d’Orient. Retour à Combret  après une  longue montée puis une longue descente. Petit tour dans ce très beau village et retour au bus.

Retour à Brusque, douche, partie  de pétanque pour les volontaires, repas et soirée « boite de nuit » pour les courageux.

Lundi départ à 9h30 direction Camarès où nous attend M. Julien membre d’une association  de découverte du patrimoine. Il nous prend en charge pour 2 heures d’explications documentées et passionnées. Merci à lui.

Pique nique et direction Albi  nous avons 1h15 pour visiter, découvrir, et s’extasier devant la beauté de la cathédrale.  Didier en profite pour  faire sa « coupure » et nous rentrons directement à Jugazan.

Merci à tous pour votre présence et votre bonne humeur indispensables à  la réussite de ce week-end.

Nous nous retrouverons la prochaine fois ?

Daniel

Montpellier Le vieux clic ici :

Photos de Claude


BRUSQUE
 
Village pittoresque au confluent de deux vallées étroites et profondes le Sanctus et le Dourdou. La cité est dominée par la tour de l'ancienne église et les ruines du château féodal. Brusque fut occupé par l'homme dés la préhistoire (grotte sépulcrale de l'époque énéolithique). La partie haute du village appelée "le Castelat" représente la partie la plus ancienne avec ses rues étroites et tortueuses oùles maisons sont étalées les unes au-dessus des autres. Viguerie, en 833, puis baronnie. L'industrie faisait l'importance de la localité. On expliotait une mine d'argent à Prat-Mansel, des forges hydrauliques battaient le fer sur le Dourdou, on extrayait du marbre à Céras. La draperie et la chapellerie étaient tout aussi importantes. Temple protestant du XVIIIème siécle.
A voir et à savoir

- La grotte des Baumes   
(caverne qui servait, selon la tradition,de temple aux protestants)
- Tour de la vieille église.
- Vieux ponts.
- Rocher de la Fouace.

Dent de St Jean
(excroissance rocheuse)
- Ermitage St Thomas XIIIème siècle où coule une source.
- Ruines du château.
   
   


MONTALIEUHAUT A ST CYBRANET (24)

Publié le 14/05/2016 à 17:31 par jugazan Tags : vie merci background homme amour france photo photos nature fleurs jardin anniversaire amoureux sur sport

 SORTIE ORCHIDEES DU 8 MAI A LA FERME-AUBERGE

Malgré un ciel gris et un fort vent nous sommes 10 des Mille Pattes de Jugazan à participer à cette journée découverte. Nous atteignons ce fameux village perché de Montalieuhaut, après quelques péripéties. Petit déj. qui nous « requinquent » et nous voilà prêts pour la découverte de ces fameuses orchidées. Nous sommes accueillis par le propriétaire des lieux puis  regroupés autour d’un animateur par groupes de 15.

1° aperçu : des panneaux nous renseignent sur le cycle de vie des orchidées, les différents genres et espèces en Aquitaine, ainsi nous apprenons qu'il en existe 70 sortes en France dont une cinquantaine dans notre région.

Nous bénéficions des connaissances de Bernard, notre guide, qui nous explique les différences entre les espèces, mais vigilance !  les fleurs sont partout autour de nous. Un petit circuit est tracé afin de ne pas piétiner ces variétés multiples et extraordinaires. Attention les pieds répètent les guides……Il faut avoir « l’oeil » et la semelle légère……Pour prendre des photos c’est un peu de sport entre les personnes présentes, les curieux penchés sur les fleurs, le vent qui fait tout trembler…..Sur le nombre il y en aura bien quelques unes de « pas trop floues…. »

Nous découvrons sous leurs noms vernaculaires dans le genre ophrys  : abeille, bécasse et mouche, puis dans le genre orchis: bouc, homme pendu,  brûlé, pyramidal, pourpre, mais aussi la céphalantère (faux muguet), épipactis helleborine, limodore à feuilles avortées. Nous faisons le tour du parc arboré « boucle de l’ancienne vigne »  jusqu’à midi. A l’apéro ! puis à table !  Nous savourons la cuisine authentique de Solange : un régal !

Nous enchaînons ensuite avec une balade dans la prairie nommée « Boucle du bois de quatre sous » que les orchidées ont littéralement colonisée tant par le nombre que par la diversité . C’est un enchantement pour les amoureux des fleurs et de la photo !

Nous apercevons aussi quelques hybrides et quelques aberrations chromatiques, désignées par le guide car le profane n’y verra que « du feu »……

La saison est à son apogée pour les orchidées sauvages, c'est la pleine floraison pour la plupart des espèces, toutefois elles sont menacées par  l'assèchement des lieux humides, la disparition des milieux ouverts, le fauchage systématique et précoce des bords de routes  et la raréfaction des -insectes pollinisateurs (pesticides). Nous apprenons que les orchidées vivent en symbiose avec des champignons vivant dans le sol, les limodores ne vivant que sur les racines de chênes, et pouvant former de véritables petits massifs.

Nous sommes invités au goûter : pâtisseries «maison» confectionnées à l’occasion du 15ème anniversaire de cette journée.

 Après cette étape instructive, nous rentrons, ravis, avec une profonde reconnaissance envers Dame Nature qui nous offre une telle diversité, à Jean-Luc qui protège son grand jardin avec amour.

Et encore merci aux guides qui ont su faire partager leur passion et leurs connaissances.

 



NAUJAN & POSTIAC

Publié le 02/05/2016 à 19:57 par jugazan Tags : merci centerblog image monde video roman photo sur

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Photo de Claude

Dimanche 1° Mai à 9 Heures.

Matin frisquet, tout le monde s’équipe contre le froid mais par contre nous sommes accueillis par un très beau soleil,  enfin !

Après la traditionnelle photo de groupe nous sommes 93 à partir en randonnée.

Parmi les marcheurs 22 mille pattes. Que ce soleil est bon !!

Les différentes « pelures » tombent  au fur et à mesure  que la chaleur monte.

Après 12 km de marche,  parfois un peu trop rapide pour certains, nous regagnons Naujan et Postiac à 12h30.

Nous retrouvons 8 Mille Pattes qui nous rejoignent pour le repas organisé comme tous les ans.  Apéro, rillettes sur pain grillé, grillades de bœuf, fromage et dessert.

Toujours aussi convivial,  merci aux organisateurs pour ce rendez-vous annuel, vraiment  sympathique.

Nous reviendrons !!          Daniel

 


BONNEVILLE 24 230

Publié le 18/04/2016 à 09:27 par jugazan Tags : femme centerblog image photos vie pouvoir cheval enfants

Bonneville-2.jpg

 La 1ère fontaine accompagnée de son lavoir

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Bonneville.jpgChâteau de valladou

Au Nord-Ouest de la forêt de St Claud ou Montaigne avait conduit le Roi (Charkes IX, futur Henri IV) pour courir le cerf, le Valadou est parmi les vignes au rebord d'un plateau dominant la Lidoire, une demeure du XVII°s. vêtue d'ampélopsis (vigne vierge). Elle fût aux Franc de Ferrière et appartient à la femme de Pierre Loti. Ce dernier y fit de nombreux séjours. Il y bâtit même une tour dans le style troubadour, avec des créneaux de briques roses. Prop.privée

Elle laisse la jouissance du château du Valladou, à Bonneville, à Jean Jacques et s'installe elle-même plus modestement à la métairie de la Birondie, à Larchère, Pomport.
Pour aller rendre visite à ses enfants, elle fait le trajet à cheval. La tradition familiale raconte que pour pouvoir se défendre contre les loups qui rôdent encore dans les forêts de Dordogne, elle transporte toujours une paire de pistolets d'arçons chargés. Ce sont ces pistolets même qui ont été donnés à Jean Franc de Ferrière. (Château à Pessac s/Dordogne)
 


BONNEVILLE 24 230

Publié le 17/04/2016 à 11:33 par jugazan Tags : bonne background monde france belle bienvenue martine paysage patrimoine
BONNEVILLE 24 230

Le vieux lavoir et l’ancienne fontaine constituent un remarquable ensemble, situé au lieu-dit Les Gauchers, à cent cinquante mètres du monument aux morts.

Probablement construite pour subvenir aux besoins d’une villa gallo-romaine, la fontaine continue d’alimenter le lavoir du village aménagé en contrebas, grâce à un petit orifice rectangulaire ouvert sur l’une de ses faces. Le lavoir se présente sous la forme d’un bac rectangulaire simple.

La fontaine, quant à elle, placée contre un muret de terrassement, est façonnée de façon plus complexe. Le petit édifice rectangulaire est en effet couronné par un toit de pierre conique de forme irrégulière que parachève une boule de pierre. Ce toit au tracé singulier témoigne d’un remaniement plus tardif.

Afin que les villageois puisent l’eau directement avec des seaux, une dalle de pierre est posée à l’entrée de ce charmant élément du patrimoine communal.

Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est un petit village Entouré par les communes de Montcaret, Saint-Vivien et Vélines, Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières est situé à 4 km au nord-est de Montcaret la plus grande ville des environs.

Saint-Avit fait référence à saint Avit, un officier de l’armée d’Alaric II, roi des Wisigoths, qui, fait prisonnier par Clovis, fut converti au christianisme par Clotilde, reine de France. Devenu ermite, il se retira dans la forêt, près de Lanquais, et y fonda un oratoire avant de mourir.

En occitan, la commune porte le nom de Bonavila e Sent Avit de Fumadièras.

Lieux et monuments

  • Le vieux lavoir avec une fontaine remarquable
  • Les arches en bel appareil. Seuls vestiges d’un moulin bâti par les Templiers sur la Lidoire

L’église Saint-Jean-Baptiste-de-Bonneville. De fondation romane, elle appartint aux hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem et relevait de la commanderie de Condat. Dévastée lors des guerres de religion, elle a conservé ses murs des XIe et XIIe siècles et ses restaurations du XVe siècle. La façade s’orne d’un portail Renaissance. La cloche est datée de 1699.

  • Cinq lavoirs de l'époque moderne.

La Boucle des Fontaines est un circuit de 11.3 km sur la commune de Bonneville en Dordogne. Le promeneur peut y admirer 3 fontaines avec leur lavoir. La marche est variée, très boisée, facile avec ses 83m de dénivelé. A certains endroits le paysage s’étend vers Villefranche-de-Lonchat et Montpeyroux.

Samedi 16 avril 2016

"BON VILLAGE en occitan"

Ou plutôt Bonneville et  St-Avit-de-Fumadières en Dordogne.

Nous nous retrouvons 13 entre la Mairie et la salle des fêtes.

Temps couvert mais pas de pluie, de tempête ou d’orage avec grêle comme prédit par la météo. Nous sommes d’accord : si le temps devient dangereux nous rentrons.

14h15 c’est parti ! Très rapidement 3 personnes  retournent aux voitures sous une fine pluie. Nous voila 10 sur la boucle. Pluie, pas pluie, pluie ….

A 5 km de l’arrivée nous pouvons raccourcir le parcours. Concertation tout le monde souhaite faire la boucle complète.

"Arrosage" jusqu’a l’arrivée, goûter sous l’abri bus. Boisson chaude bienvenue. Nous dégustons un très bon gâteau au citron, œuvre de Simone, et un cake fait par Martine.

Très belle boucle que nous proposerons à nouveau à  l’automne sous un grand soleil ?!?

Daniel