Randos 1er Semestre 2017
Publié le 28/06/2017 à 19:12 par jugazan
Tags : paysage saint
Située dans l'Entre-deux-Mers, la commune est séparée de sa voisine Cessac par un ruisseau, l'Engranne, qui se jette, plus au nord, à Saint-Jean-de-Blaignac, dans la Dordogne. Paysage mouvementé creusé par l'Engranne et ses petits affluents, avec une végétation diversifiée de bois, viticulture assez développée encore, le charme de l'Entre-deux-Mers.
La commune se trouve à 42 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 25 km au nord-nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 10 km à l'est de Targon, chef-lieu de canton.
Les communes limitrophes en sont Blasimon au nord-est, Sauveterre-de-Guyenne au sud-est, Daubèze au sud, Martres au sud-sud-ouest, Baigneaux au sud-ouest, Cessac au nord-ouest et Lugasson au nord.
ANNULEE
Porte de l'Entre-Deux-Mers viticole et historique, Pujols est un site pittoresque situé sur un éperon rocheux dominant la vallée de la Dordogne.
Le bourg constitue un ensemble architural exceptionnel avec son château.
Le château est au sommet d'une colline avec une vue superbe sur la vallée de la Dordogne. Léo Drouyn, artiste et savant girondin né à Izon livre en 1856 ses observations et la difficulté qu'il rencontra pour établir un croquis du château de Pujols : "des arbustes et du lierre en cachaient complètement le soubassement et tout le côté faisant face au nord-est était masqué par un énorme noyer ; de plus il était impossible de s'éloigner à une distance convenable pour en prendre un croquis parce qu'un rideau de vignes et d'arbres fruitiers y mettaient obstacle". Il ne put dessiner le château que d'assez loin. Léo Drouyn revint à Pujols en 1878 où il réalisa un dessin beaucoup plus rapproché.
Le nom de Cambes viendrait de cambo "courbe de rivière"
Cambes, mot latin, signifie lieu d’échange et nous rappelle l’existence, dans les temps antiques et historiques, d’un gué sur la Garonne (le premier depuis l’Océan), en amont du bourg actuel, connu dans l’histoire sous le nom de trouée de Cambes, face à l’Isle Saint Georges (sur la rive gauche). Ce gué, emprunté par les hommes des temps protohistoriques (ce qui est confirmé par la découverte de l’épée de Cambes -âge de bronze- trouvée à cet endroit et visible au Musée d’Aquitaine de Bordeaux), fut aussi utilisé par les différentes vagues d’invasions en Aquitaine du IVème au VIIIème siècle.
Avant l’aménagement de la route départementale au XIXème siècle, lorsque la Garonne était la seule voie de communication, Cambes, avec ses trois ports très fréquentés (Petit Port, Grand Port et Esconac) était un village de marins, de constructeurs et de maîtres de bateaux. Dans le vieux cimetière de Cambes, de nombreux capitaines reposent face au fleuve. Sur les tombes on peut apercevoir ancre, sextant, mappemonde….
On ne pêche plus dans la Garonne l’esturgeon dont les œufs, très appréciés (caviar) faisaient le bonheur d’une maison parisienne (Prunier) qui achetait tout ce qui arrivait à Cambes, pour sa production de caviar. Toutefois les pêcheurs actuels remontent dans leurs filets ou nasses, à la saison, lamproies, anguilles et crevettes.
Le vignoble de Cambes, 1ère côtes de Bordeaux, très bien exposé, comporte une vingtaine de propriétés (allant des petites exploitations familiales aux grands domaines) dont le vin est très apprécié.
Nous sommes 13 au rendez vous à l'Eglise de ce village. Nous avons avancé l'heure du départ à 9h30 : la météo annonçant 30 voire 31°.
Une petite grimpette dans un sous bois nous mène directement à un joli panorama : sur le village, le clocher de l'Eglise et le méandre de la Garonne.
Notre colonne continue d'escalader le sentier entre les bois, nous respirons....puis nous arrivons à un puit de lumière : des lotissements parsèment le paysage, de très belles demeures, toutes bien dissimulées dans un havre de verdure, intimité oblige, on comprend.....
Petits sentiers en sous bois nous mènent vers l'autre moitié du circuit. Le Pt nous précise : bientôt la route : profitez ! Ben voyons si tu ne nous l'avais pas rappellé, on l'aurait "occulté"......
Mais la réalité nous rattrappe, et nous sommes très surpris de ne pas "souffrir" de la chaleur car des zones d'ombre nous accompagnent, une bonne partie provenant des arbres et haies très feuillus qui empiètent sur les accotements, pour notre plus grand bonheur. De plus un petit vent frais s'invite à la rando, nous faisons comme les volatiles, nous battons des ailes.....
Finalement nous arrivons à 12h15 pour se restaurer à l'ombre des grands arbres du parking.
L'ombre étant là nous n'avons pas cherché plus loin. Les cerises sont de sortie, c'est la période. En vrac ou en clafoutis, nous avons apprécié. Après un autre massage maison au baume du "tigre" qui fait rire tout le monde sauf l'intéressée qui "braille" nous reprenons le chemin de nos pénates.
Conclusion : Tracé très plaisant, temps agréable, beaux points de vue, paysage reposant.
Dénivelé positif : 125.5 - Dénivelé Négatif : 116.6 - Total : 242.10
Prochaine rando à Pujols. Départ idem à 9h. Cette année la température nous surprend, l'été s'invite très tôt, il faut donc s'adapter.
Publié le 27/05/2017 à 20:25 par jugazan
Tags : sur saint
L’église de Loupiac était une dépendance de Sainte-Croix de Bordeaux. La tradition veut qu’elle ait succédé à un temple païen. De nombreuses restaurations, en particulier suite à l’incendie de 1655, ont profondément modifié l’aspect de l’église :1720 reconstruction du mur sud, 1843 reconstruction de la partie orientale, 1850-1853 reprise de l’édifice. Le plan "bénédictin" du chevet et les bandeaux de la façade couverts d’une riche ornementation démontrent l’importance de l’église. Le fronton montre une frise représentant : à gauche le pêché originel, à droite l’Adoration de l’Agneau, au centre le Christ au milieu des 11 apôtres (Saint Jean appuyant sa tête sur l’épaule du Maître, thème suffisamment rare pour le souligner).
L’église a bénéficié d’un vaste plan de rénovation communal en 2003. En 2009, un chantier Concordia a rénové et nettoyé les abords.
L'histoire du Château du Cros est étroitement liée à celle de la Guyenne anglaise; elle débute en 1196 lorsque Richard Coeur de Lion donne un fief, le Domaine du Cros, au sieur Boson de Casau.
En 1322 Bernard de Ségur obtient du Roi Édouard II l'autorisation de fortifier le Château en le ceinturant d'un mur de pierre et de chaux. Celui-ci, situé sur la hauteur de Loupiac, surplombe la vallée de la Garonne devenant ainsi un point stratégique, et prend le nom de Château du Cros.
Ce vignoble est un des rares du Bordelais à exploiter une parcelle d'1 ha centenaire (plantée en 1907), productrice d'un vrai nectar de Loupiac depuis 4 générations.
Ce domaine appartient à la famille Boyer depuis 4 générations et Catherine, aujourd’hui directrice, perpétue la philosophie de la famille : "Tradition, Qualité et Savoir faire".
Les amis du vieux Château du Cros
Restauration du vieux château
Ce château du XIIe-XIVe siècle, construit sur l’emplacement d’une ancienne motte féodale avec autorisation du roi Edouard III d’Angleterre, domine toute la vallée de la Garonne et du Ciron.
But : Consolider le château pour éviter la ruine d’un bâtiment qui fait partie du patrimoine culturel de notre région et de Loupiac, plus particulièrement.
Le sécuriser pour ouvrir le plus possible au public et au tourisme, tant le château que le superbe point de vue.
Le Château du Cros est ouvert à la visite libre et guidée (sur rendez-vous, 05.56.62.99.31).
Le site peut désormais accueillir régulièrement des manifestations ouvertes au plus grand nombre (Journée médiévale du Cros, Journées européennes du patrimoine).
Château du Cros
Contact: Mme BOYER Françoise
Adresse: Château du Cros
33410 LOUPIAC

Saint Germain de la Rivière, petit village de 391 habitants, est situé en partie sur la vallée de la Dordogne et sur les coteaux qui la dominent.
Grâce à cette situation privilégiée, Saint Germain a été habitée par les premiers représentants de l ’humanité, comme en atteste la sépulture magdalénienne qui se trouve aujourd’hui au musée des Eyzies en Dordogne.
« La Dame de Saint-Germain » ainsi qu’on l’a nommée, découverte dans une cavité qui servait d’habitat à l’époque du Paléolithique, fait de cette commune « le berceau de l’homme en Fronsadais ».
L’église de style roman date du 13ème siècle et la croix du cimetière, classée monument historique, date du 16ème.
L’Ermitage chrétien de Saint-Aubin, également classé, est situé sur les coteaux.
L’activité économique est, bien entendu, essentiellement viticole.
Elle a été autrefois également liée à l’extraction de la pierre, comme en témoignent les nombreuses carrières souterraines qui occupent notre sous-sol et qui furent ensuite utilisées pour la culture des champignons de Paris.
18 sont au RV au parking de la Maison du Fronsadais. Un vent sec nous incite à rester couverts malgré le soleil. Nous partons vers l'Eglise, nous admirons la belle croix singulière du cimetière. Nous longeons un chemin entre futaies et prairies, qui nous protègent du vent. Arrivés à une route nous enlevons une pelure. Direction le bord de l'eau, un moment serein, mais nous ne sommes qu'au début de la rando, donc, nous repartons au milieu des vignes. En point de mire à notre gauche nous pouvons admirer le sompteueux Château de La Rivière. La gelée a fait des ravages plus ou moins dévastateurs, qu'elle tristesse ! Nous savons que la région a été particulièrement impactée, nous sommes solidaires des viticulteurs, nous en avons parmi nous et nous savons ce que cela implique économiquement !
Nous nous dirigeons vers la commune de La Rivière dont nous apercevons le clocher parmi les arbres. Halte, mais cette dernière est fermée, nous observons la croix de cimetière un "tantinet" "martelée" .....Un peu de route pour revenir vers les côteaux, point de vue, un étroit chemin nous guide au milieu d'une bambouseraie pour attérir vers une très belle demeure que nous contournons, un peu de route, un chemin creux dans un bois, très agréable. Nous passons près d'un lavoir abandonné....quel dommage ! Puis des allées de vignes, St Aignan n'est pas loin, nous revenons vers St Germain, on redescend en longeant des prairies, les arbres en fleurs nous ravissent : accacias, aubépines .... et ....un tapis gigantesque d'aïl des Ours, malheureusement en fin de floraison. Certains ne connaissent pas, donc, leçon de botanique...... A part J.P. qui nous livre une recette invraisemblable avec l'aïl et....de la ciguë ..... mais nous connaissons, farceur .....
Attention il faut traverser la Dle, ça roule ......retour vers le parking pour déguster les gâteaux des filles.
Circuit très agréable, diversifié. Merci aux guides Sylvie et Régis qui ont reconnu cette marche. A la prochaine à Monfaucon.
Le nom de la commune proviendrait du patronyme gallo-romain Gracilius.
Le nom gascon de la commune est Gresilhac.
Les communes limitrophes en sont Moulon au nord-nord-ouest, Saint-Sulpice-de-Faleyrens à l'extrême nord-nord-est, sur la rive droite de la Dordogne, Branne au nord-est, Lugaignac à l'est, Guillac au sud-est, Daignac dans un grand sud-sud-ouest et Tizac-de-Curton à l'ouest.
21 marcheurs sont au rendez vous de ce samedi au parking de la salle des fêtes. Un temps idéal pour parcourir les 9 km concoctés par Martine et son équipe. 127.6 de dénivellé positif, 142. de dénivellé négatif. Donc paysage vallonné. Au départ nous passons devant un très beau et vaste ancien moulin, restauré en bord de route et du ruisseau le Lyssandre qui devait alimenter le dit moulin dont une partie est réservée aux chambres d'Hôtes.
Ce fût très agréable de déambuler parmi les allées de vignes, les sous bois. Une petite incurcion dans les "andrones" de village ancien, (Androna, androuna, androno est un mot occitan et catalan qui désigne à l'origine un petit passage entre deux maisons), de "lorgner" des maisons de maître, de puits lovés dans les parcs dont les lilas et arbres de judée embaument l'atmosphère. Nous musardons à l'arrière pour admirer de vieilles bâtisses avec les jardinets, les rosiers grimpants, les pigeonniers et parcs à volailles ou cochons.....qui nous font repenser à notre enfance.....et voilà que nous sommes "largués".......la file, file.....mais nous nous dirigeons au son....des bavardes....et nous revoilà sur le groupe, qui, finalement ne s'est même pas aperçu que nous "naviguions à vue"....... plaisanterie, je force un peu......
Nous avons côtoyé plusieurs communes ce qui nous a permis de découvrir la diversité de la campagne : du petit patrimoine, telle qu'une source et son lavoir que seuls les locaux connaissent. Régis voulant jouer au jardinier, nous lui avons conseillé de demander un CDD à la nouvelle région ...boutade .....
Nous avons vu un "Papi" qui jardinait....un jardin extraordinaire....de surface. Du coup l'étonnement nous fait faire une halte. Comme si nous n'avions jamais vu de jardin...."chapeau". Puis nous avons fait la causette, enfin certains, avec Marguerite....une vache très sympa. avec son petit et 2 copines. Tiens pas de cousins.....et si ! un peu plus loin nous entendons le "cri de guerre" d'Antonin ! nous lui avons trouvé un nom. Ils étaient trois, nous reviendrons pour baptiser les autres. Pour ceux qui ne savent pas encore ou ne se rappellent pas, les cousins ce sont les ânes.
Les orchidées commencent à pointer si le soleil darde comme ces derniers jours, elles vont s'épanouir pour notre plus grand plaisir. Cette année elles sont en avance ! Lors d'un passage resté très humide certaines découvrent une plante mauve sous l'humus ou contre des souches pourries, c'est la lathrée clandestine. Etonnante plante discrète donnant une note de couleur dans des endroits sombres, voisinant souvent les carex en fleurs.
De retour aux voitures une table nous attend pour déguster les gâteaux confectionnés par Martine. Et chacun se prépare à regagner ses "pénates" dans la joie et la bonne humeur.
A samedi prochain à St Etienne de Lisse pour découvrir ce village à côté de St Emilion.
En occitan, la commune porte le nom de Sent Sieurin de Prats.
Nous voici arrivés dans ce petit village que nous ne connaissons pas étant donné qu"il se trouve en recul de la Dle via Ste Foy. Juste après Montcaret et direction Pessac s/Dordogne.
Nous sommes 12 à prendre le départ pour 9.500 km. La pluie fait son apparition, certaines repartent....la décision est prise de faire la boucle. Bien équipés, nous partons à l'assaut des champs, un peu de route, des chemins forestiers....nous traversons des vergers de pommiers en fleurs. La pluie nous offrant une trêve, nous enlevons les tenues de pluie, nous avons trop chaud. Cela va nous permettre d'admirer les fleurs qui forment un tableau magnifique même si le soleil ne daigne paraître cette après midi. Le ciel s'éclaircit, ou s'assombrit mais nous sommes épargnés jusqu'à l'arrivée. Nous arrivons au lieu dit Prats, nous jetons un coup d'oeil sur le Château de Pitray lové au fond d'un grand parc. Puis nous passons devant le Château de Prats, nous admirons cette grande propriété puis nous prenons un sentier au bord de l'eau-une partie de l'ancien chemin de halage certainement-. Dommage pas de cygnes à cet endroit. Nous longeons une pépinière spécialisée dans les diverses variétés d'hortensias dont nous avons admiré les couleurs lors de notre repérage. Puis direction le village vers la Mairie notre proint de départ.
Nous avons pu savourer un bon chocolat et le gâteau aux noisettes de Sylvie qui fêtait ses 1 an de retraite......ah ! la veinarde ......
Nous avons eu le plaisir de compter parmi nous 3 fidèles Vélinois. Vélines n'étant qu'à quelques km.
Conclusion : la rando était très agréable, la pluie nous ayant accompagnés 2 km env. pour nous laisser tranquille le reste de la marche.
A refaire au mois de Juillet pour avoir le plaisir d'admirer les pommiers croulants sous le poids de leurs fruits énormes, et de découvrir toutes les variétés d'hortensias au Hameau des Saunières, pépinières Meynier.Sans oublier les nombreux cygnes.

Photos prises lors du repérage

Hortensia a feuilles de Chêne

Hortensia Annabelle
À l'intersection de la route de Saint-Jacques-de-Compostelle (D245) et le Chemin de Chantecaille dans la commune de Pomerol.
Sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, la route de Saint-Émilion à Lalande de Pomerol est jalonnée de croix de carrefour, dont cinq sont située sur les communes de Lalande et de Pomerol.
La croix de Gay est destinée à marquer les limites d'une paroisse et de ses différents hameaux.
Elle est composée de larges branches et d'un fût, taillés dans un seul bloc de pierre et elle prend la forme d'une croix de Malte, devenue emblème des Chevaliers de Malte en 1530.
L'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem s'établissent dans le Libournais au début du XIIe siècle où ils fondent plusieurs commanderies, dont celles de Pomerol et de Lalande. En 1530 Charles Quint donne l'île de Malte aux Hospitaliers et ceux-ci prennent le titre de Chevaliers de Malte.
La croix de Gay a été inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 2 juillet 1987.
Publié le 18/03/2017 à 20:26 par jugazan
Tags : saint sur
La Barbanne (ou le ruisseau de la Barbanne) est un ruisseau français du département de la Gironde, affluent de l’Isle et donc sous-affluent de la Dordogne.
La Barbanne prend sa source vers 79 mètres d'altitude sur la commune de Puisseguin, deux kilomètres et demi à l'est-nord-est du bourg, au nord du lieu-dit la Grave.
Elle coule globalement de l'est vers l'ouest. Elle traverse le vignoble de Saint-Émilion, servant de limite naturelle à des communes aussi réputées que Montagne, Saint-Émilion, Lalande-de-Pomerol ou Pomerol.
Elle rejoint l’Isle en rive gauche, à 1 mètre d'altitude, sur la commune de Libourne, un kilomètre et demi au nord du centre-ville, au lieu-dit Brun.
Sa longueur est de 23,5 km pour un bassin versant de 66 km.
Dans le seul département de la Gironde, la Barbanne arrose douze communes : Puisseguin (source), Montagne, Saint-Christophe-des-Bardes, Néac, Saint-Philippe-d'Aiguille, Saint-Genès-de-Castillon, Saint-Étienne-de-Lisse, Saint-Émilion, Lalande-de-Pomerol, Pomerol, Les Billaux, Libourne (confluence).
La Barbanne possède seize courts affluents répertoriés par le Sandre, dont cinq ont un nom : le ruisseau de Tuillac, le ruisseau d'Aiguille, le ruisseau de Causin, le ruisseau de la Barbannotte et le ruisseau de Larguet.
De 2000 à 2005, une station hydrologique a existé au moulin de Bassat à Puisseguin, à deux kilomètres en aval de sa source. À cet endroit le bassin versant ne représente que 10 % de sa surface totale. Sur cette courte période ont été enregistrés un débit journalier maximal à 0,719 m/s le8 novembre 2000, et un débit instantané maximal de 1,150 m/s, deux jours avant, le6 novembre 2000 à 21 h 27.