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heu....
des meurtrières créées durant les guerres de religion.
mou ai. il ne faut pas recopier les erreurs l
Par Anonyme, le 13.09.2019
merci simone mais je t'ai aidée de bon cœur !
sylvie c.
Par CAILLAUD SYLVIE, le 01.10.2017
coucou du soir.une bien jolie photos avec ces cygnes noir http://pommere inette.centerb log.net
Par pommereinette, le 18.09.2017
merci. le compliment me va droit au coeur. vous aussi vous me manquiez. l'amitié est un bien précieux qu'il fa
Par jugazan, le 18.09.2017
belle rando et beaux points de vue. contente de retrouver notre simone, elle nous manquait !!!!!
Par Anonyme, le 18.09.2017
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Date de création : 10.02.2011
Dernière mise à jour :
30.06.2018
415 articles
Bellefond, dont le nom signifie Belle fontaine, est née autour de lafontaine de la Goilane.La commune de Bellefond comprend le bourg mais également des lieux-dits :La Pontrique situé dans le vallon, à l'ouest le hameau de Mirambeau, au sud d'ouest La Goilane, au sud Germont-de-Haut et Germont-de-Bas, mais aussi Peyvideau, Curton, Sabatey.
À la Révolution, la paroisse Saint-Sulpice de Bellefond et son annexe, Notre-Dame de Cazevert, forment la commune de Bellefond.
Eh oui pour cette dernière rando du premier semestre nous étions avec l’ABEEM pour la découverte du patrimoine des communes de Jugazan, Bellefond avec arrivée au hameau de La Goilane.
25 candidats dont 5 vélinois, 10 Mille Pattes, et 10 Bellefonnais.
Oui je sais il faisait chaud !!.... Mais nous nous étions engagés auprès de nos amis.
Départ 14h10 de Jugazan. Nous cheminons sous le soleil jusqu’à la Pontrique, après, la descente abrupte de la palombière. Droit sur le Dolmen. Nous continuons vers une halte eau fraiche, après 7 km, proposée par l’ABEEM. Un œil sur la fontaine et le lavoir, au milieu des bambous, réhabilités par l’ABEEM. Parcours à l’ombre dans le bois. Ça fait du bien !!!! Deuxième dolmen, cap sur Bellefond, coup d’œil sur le lavoir et l’église. Nous rejoignons la piste cyclable que nous remontons direction Sauveterre pour nous engager sur le chemin Napoléon défriché toujours par l’ABEEM (aidée par les chasseurs de Bellefond). Nous longeons une haie plantée dernièrement qui ne demande qu’à grandir.
En point de mire, La Goilane. Nous sommes attendus … au frais…. !! Par nos sauveurs avec eau fraiche, jus de fruits et vin blanc aromatisé à la pêche et à l’abricot. Nous nous sommes rués sur les boissons fraiches non alcoolisées…. Eh OUI !!!
Une douche bienvenue, avant le repas en plein air, près de la salle des fêtes de Bellefond, puis feu de la St Jean. Les plus intrépides n'hésitant pas à sauter par dessus les flammes ou le brasier. Le public participait en criant et applaudissant !
En résumé une bonne journée sympa et conviviale. Merci à ceux qui nous permettent de vivre ces moments et à ceux qui ont préparé la soirée.
A bientôt Daniel
SAINT JEAN - "Le saut par-dessus le feu est un gage de purification"
Le saut par-dessus le brasier
Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait desrhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient d’enjamber une braise !
On faisait aussi sauter ou plutôt passer les troupeaux à travers le brasier presque éteint ou bien on menait les bêtes à travers la fumée ou les cendres du feu de la Saint-Jean pour les protéger des épidémies le reste de l’année.
Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire ou placé près du lit des parents, conservé jusqu’à la Saint-Jean prochaine, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait
aussi en placer un morceau dans son champ pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi (disait-on) des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie, cendres auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.
Quant à l’origine de ces feux de Saint-Jean elle-même, elle reste aussi inconnue que les propriétés magiques de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère demeure.
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Dolmens Le Sabatey (Sites et monuments historiques classés)
Cet ensemble est vraisemblablement constitué de deux mégalithes distincts. Il s'agit des vestiges d'une allée couverte, type de sépulture néolithique, composée de deux rangées de dalles parallèles et verticales délimitant une chambre funéraire rectangulaire.
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Le nom du dolmen du Sabatey, situé dans la commune de Bellefond, est peut-être dû au "sabbat" que les sorciers d’antan auraient organisé autour.
L’archevêque de Bordeaux lui-même aurait ordonné la destruction de ces étranges vestiges près desquels se seraient tenues d’étranges cérémonies. Il s’agit de vestiges de sépultures composés de deux rangées de dalles parallèles délimitant une chambre funéraire rectangulaire, et abritées par une dalle verticale. L’ensemble date du Néolithique.
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